Ont donc été abordées les questions liées à :
1. La compréhension du site et de son quartier à travers :
- son historique. Qu’y avait-il avant sur le site, d’où viennent les gravats, pourquoi les rues adjacentes portent-elles ces noms ?
- notre sensibilité du lieu. Le rapport au paysage qui a de nouveau été abordé par rapport à nos premières impressions sur le site. Les éléments qui stimulent notre affectif, nos sens ?
- les facteurs humains. Qui sont les voisins ? Professionnels, privés, vie associative ? Quelles sont leurs visions du site…
- la politique urbaine de la ville.
2. L’implantation du foyer, comprenant :
- la préparation du terrain. A savoir, trouver de quoi surélever les containers et le mettre en œuvre.
- la préparation des containers au voyage GAIA/épicentre. Consiste à démonter la charpente, sangler le bordel qui règne là-dedans et à (peut être) trouver de quoi fermer les côté ouverts.
- l’élaboration d’un moyen de chauffage (brasero, poêle, cheminée ?)
- les commodités qui nous éviterons des faces crispées par l’angoisse (chiottes sèches ou toilettes à récupération d’eaux de pluie ?)
3. Les problématiques liées au matériau rebu.
- Quelle matière servira au projet ? Faut-il s’intéresser à une seule filière comme le suggére Simon ? Proposition de récupération des gravas de destruction de bâtiment.
- Cela pose, du coup, en notre sens, un questionnement sur des termes tels que : recyclage, réemploi, détournement.
4. La question de l’ouverture du site au public.
- Quand ?
- Comment ?
- Qui ?
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